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[vc_row][vc_column][vc_single_image alignment="center" border_color="grey" img_link_target="_self" img_size="120x120" css=".vc_custom_1431963935006{margin-bottom: 10px !important;}" image="1225"][vc_column_text]J’écoutais dernièrement une conférence dans laquelle l’intervenant exprimait les éléments ci-dessous.

Avant de lire ce qui suit, il m’est utile de vous rappeler que lorsque vous vivez une émotion désagréable (peur, tristesse, colère,…) c’est que l’un de vos besoins est insatisfait.
Il est nécessaire de prendre la responsabilité de vos émotions et de vos besoins.

«  La situation ou l’autre personne ne sont jamais la cause de la colère mais le déclencheur. La cause de la colère, c’est l’histoire que je me raconte au sujet de l’autre. 
Dans la colère, on part du principe que l’autre est en tort, ce qui correspond à mettre la responsabilité à l’extérieur. 
La colère contre l’autre est toujours destructrice et correspond en fait à l’expression maladroite de notre propre vécu intérieur. 
Le but est de passer de la colère CONTRE l’autre à la colère POUR et AU SERVICE de mes besoins. 
Passer du «Je suis en colère parce que TU» à «Je suis en colère parce que J’ai besoin de… ».

Cela demande également de vous connaître et d’apprendre à découvrir vos besoins. Ensuite à vous d’y répondre au mieux de vos capacités.

Comme tout un chacun, il m’arrive de vivre des périodes de colère.
Lorsque je ressens cet inconfort, qui correspond à une situation désagréable, la plupart du temps mon mental entre en action : à réfléchir, ressasser, à vouloir tout analyser, comprendre, à identifier une cause, à rechercher un coupable …

Et par expérience, cela ne  mène à rien et amplifie le mal être.

Dans ce cas, il est préférable d’extérioriser: d’exprimer à l’extérieur de soi , de poser les choses afin de les évacuer et de s’en libérer.
Comme lorsque vous portez une lourde charge... le soulagement vient lorsque vous la déposez!

[/vc_column_text][vc_single_image image="1223" alignment="center" border_color="grey" img_link_target="_self" img_size="120x120" css=".vc_custom_1431964233125{margin-bottom: -10px !important;}"][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width="1/1"][vc_column_text]Pour ma part, l’un des outils utilisé (pour exprimer à l’extérieur) est l’écriture.

C’est un moyen que j’utilise de façon régulière, voire quotidiennement dans certaines périodes de vie.
Sans chercher, ni réfléchir, j’exprime par l’écriture ce qui vient.
Comme vous pourrez le constater ci-après, les écrits forment un poème. De façon spontanée et naturelle, j’enchaîne les mots, les paragraphes, les rimes, ne me souciant guère des règles strictes de poésie. Je suis parfois surprise de certains mots et de la tournure que prend le texte, comme si certains mots ne venait pas de moi, mais d’ailleurs.

Ailleurs ?

Je ne sais pas exactement d’où émerge ces mots, j’écris, ne sachant même plus parfois ce qui a été dit le paragraphe précédent. Et c’est le côté ‘magique’,  puissant et révélateur de cet outil.
La relecture intégrale finale est toujours un moment spécial. Je trouve dans chaque texte un message, une piste, une guidance. Et le résultat en est que l’inconfort de départ s’est volatilisé, transformé.

Exemple d’écrits (cliquer pour lire)

Version audio ci dessous


[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width="1/1"][vc_column_text]Alors je vous invite à vous aussi tester l'écriture, poétique ou non, laissez simplement libre cour à ce qui vient.

Lancez-vous. Pas besoin d’être écrivain, et pas besoin de savoir-faire. Faîtes. Testez.
Le but est d’exprimer ce qui se passe, de vider votre trop plein.

Voici un autre témoignage de ce type de pratique.

Venez partagez votre expérience dans les commentaires ci dessous.

A bientôt, pour d’autres partages lumineux.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]